Dalton Trumbo
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Réalisateur : |
Jay ROACH | ||
Acteurs : |
Bryan Cranston, Diane Lane, Helen Mirren, ... | |||
Genre : |
Biopic | |||
Durée : |
2 h 05 | |||
Date de sortie : |
27/04/2016 | |||
Titre original : |
Trumbo | |||
Note "critique" : |
3,16 | |||
Classement 2016 |
5 / 106 |
Résumé : |
.O xx |
.O. En 1947, Dalton Trumbo fait partie des scénaristes respectés à Hollywood : son talent et sa rapidité en font un collaborateur recherché. Mais c'est à cette époque que le Comité des activités antiaméricaines se lance à la poursuite des artistes hollywoodiens liés de près ou de loin au parti communiste. .O. |
Xavier |
.O. 01/06/2016 Je ne connaissais pas du tout le bonhomme et le film a le bon goût de le mettre sur le devant de la scène en même temps qu'il parle d'une période dont j'ai entendu parler en cours d'histoire, au collège et au lycée, mais que je ne connais pas dans le détail. L'histoire est menée tambour battant et le tout Holywwod se fait sacrément allumer : des PDG aux acteurs en passant par les journalistes, c'est un sacré panier de crabes plus ou moins pleutre qui gravite autour du personnage principal, tenu par un Bryan Cranston en très grande forme. Je regrette toujours dans ce genre de film que le contexte soit éludé si facilement... les "communistes" passent pour des enfants de choeur pendant que les "anti" passent pour des crétins, la philosophie exprimée par Trumbo à sa fille étant une des multiples ficelles utilisées pour cela. N'essayez pas de transposer cette histoire à ce qui se passe aujourd'hui, le film ne tiendrait pas la route mais si l'on se concentre sur les faits, la manière dont ils sont racontés, le jeu des acteurs et l'histoire en tant que telle, le film a suffisamment d'atouts pour vous convaincre. Bref, pas d'Oscar en fin d'année dans mon classement personnel, mais une belle place dans la catégorie "film solide" et c'est déjà beaucoup ! O. |
Première : ¤ ¤ ¤ |
Studio / Ciné Live :
# # # # |
.O. Ni biopic, ni page d'histoire, mais un peu des deux, ce "Dalton Trumbo" vaut véritablement le détour, aussi parce qu'il a le bon goût de rappeler qu'une démocratie peut échouer quand l'immense majorité de ses parlementaires décide de condamner ceux qui pensent différemment. .O. |
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